Elle avait envie de jouir au réveil. Je l'ai doucement caressée. Mais l'heure d'aller travailler approchait... Elle m'a demandé de la pénétrer: elle était ouverte, et mon sexe s'est glissé en elle sans effort. Elle gémissait, fermait les yeux et m'a demandé de gicler en elle pour que toute la journée elle garde une trace de moi.
Son sexe a longtemps malaxé le mien après mon éjaculation.
Au coucher, j'ai encore très envie d'elle. Elle vient s'allonger contre moi, et je lui dis:
- Laisse-moi lécher ton clitoris...
- Il dégouline encore de ton sperme de tout à l'heure.
Elle s'assied néanmoins sur ma bouche, offre ses seins à la caresse, et gémis sans attendre. Son clitoris est gonflé. Ses yeux se ferment et elle laisse monter le plaisir jusqu'à un joli hurlement, tête renversée en arrière.
Puis elle s'assied sur mon sexe en murmurant:
- Mon Dieu, quel pied!
Elle se prend encore une giclée de foutre, bien assise sur ma queue.
Nous avons profité du café, après le déjeuner, pour reprendre ce que nous avions abandonné ce matin.
Elle s'est abondamment caressée le clitoris pendant que j'enfonçais mon majeur dans sa chatte humide et profonde.
Son plaisir a monté: je l'ai finalement pénétrée. Elle a longuement joui en se caressant le clitoris, et j'ai éjaculé généreusement en elle.
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